distance terre lune en puissance de 10

c 150 milliards de km. 2. La distance Terre-Lune est égale à : a. 380 x 10 5 km. b. 380 x 10 3 km. c. 38 x 10 3 km. 3. La distance Paris-Marseille est de : a. 400 km. b. 1600 km. c. 800 km. 4. La longueur de l'Avenue des champs Élysées est de : a. 191 m. b. 1910 m. c. 19100 m. 5. La distance entre deux atomes de chlore . dans une molécule de dichlore est de l'ordre de : a. Ladistance moyenne terre-lune est D=3,8 10 5 km. A quelle distance q du foyer de l'oculaire faut-il placer la pellicule pour que l'image de la lune est un diam tre d= 24 mm. La structure granulaire de la pellicule ne permet pas de s parer deux images distantes de moins de a=10mm. En l'absence d'autres limitations du pouvoir s parateur, calculer la distance minimale de deux Distanceterre soleil : 150 000 000 km Diamètre de notre galaxie : 1 000 000 000 000 000 000 km Épaisseur d'un cheveu : 0,00005 m Taille d'un virus : 0,0000000001 m Il n'est pas pratique d'écrire beaucoup de zéros. On transforme l'écriture de ces nombres avec des puissances de 10.! Grands nombres: Ecriture décimale Ecriture avec des puissances de 10 10 000 000 200 Ladistance donnée étant en m, on peut établir le tableau de proportionnalité suivant : Années-lumière (al) 1. D. Distance (m) 9,467 x 10 15 m. 4 x 10 16. On peut alors déterminer grâce à ce tableau, la distance D en al, soit : Donc l’étoile Proxima du Exemple: 842 589 km = 8,4 x 10 5 km DISTANCE En kilomètres En écriture scientifique Diamètre de la Terre 12 742 km 1,3 x 10 4 km (on peut arrondir !) Distance Terre- Lune 384 000 km 3,8 x 10 5 km Distance Terre - Soleil 149 600 000 km 1,5 x 10 8 km Diamètre axe galaxie 1 milliard de milliard de km (1 x 10 9) x (1 x 10 9) = 1 x 10 18 km nonton film the lion king 1994 sub indo. Sujet du devoirbonsoirje me permet de venir vers vous pour votre aideavec les puissancesEXPLIQUATION ET DEMARCHESVOICI LES DISTANCES EN KM QUI SEPARENT 3 PLANETES DU SYSTEME SOLAIREvenus 105x10 puissances 6terre 8Mars 2250x10 puissances 5parmi ces 3 planetes quele est la plus eloigne du soleil justifiermerci pour votre aide Forum Futura-Sciences les forums de la science UNIVERS Astronomie et Astrophysique Archives Vitesse de déplacement de la lune. Affichage des résultats 1 à 7 sur 7 23/10/2008, 14h37 1 softage Vitesse de déplacement de la lune. - Amis bonjour. En cherchant à déterminer la vitesse de déplacement radial de la lune en orbite vitesse et orbite stables, j'ai pris comme équations M1 masse terre M2 masse lune R distance terre-lune F1 = GxM1xM2 / R² pour la force centripède F2 = M1xV²/ R pour la force centrifuge Tel que F1 = - F2. En réduisant l'équation on arrive à V = racine carré de GxM2 / R Le calcul est simple sauf que le résultat donne ~ 1170 km/h, alors que la valeur connue est de 3683 km/h ? Devant ce dilemme, j'ai remarqué que mon résultat était parfaitement la valeur réelle divisée par PI. Mais où placer pi dans les équations classiques de la force centrifuge ? Merci. - La couleur du vide est proportionnelle à sa masse... 23/10/2008, 15h39 2 physastro Re Vitesse de déplacement de la lune. "Nous sommes juchés sur des épaules de géants..." 23/10/2008, 15h55 3 alain_r Re Vitesse de déplacement de la lune. Envoyé par softage Amis bonjour. En cherchant à déterminer la vitesse de déplacement radial de la lune en orbite vitesse et orbite stables, j'ai pris comme équations M1 masse terre M2 masse lune R distance terre-lune F1 = GxM1xM2 / R² pour la force centripède F2 = M1xV²/ R pour la force centrifuge Tel que F1 = - F2. En réduisant l'équation on arrive à V = racine carré de GxM2 / R Le calcul est simple sauf que le résultat donne ~ 1170 km/h, alors que la valeur connue est de 3683 km/h ? Devant ce dilemme, j'ai remarqué que mon résultat était parfaitement la valeur réelle divisée par PI. Mais où placer pi dans les équations classiques de la force centrifuge ? Merci. Votre formule est juste, sans doute avez-vous commis une erreur dans l'application numérique. Au choix confusion entre l'unité SI m/s et celle que vous voulez km/h, ou alors erreur d'un 0 qui lors du passage à la racine carrée a malencontreusement multiplié ou divisé votre résultat par racine carrée de 10, qui comme chacun sait est presque égal à pi 3,1623 au lieu de 3,1416. 23/10/2008, 16h05 4 softage Re Vitesse de déplacement de la lune. Envoyé par alain_r Votre formule est juste, sans doute avez-vous commis une erreur dans l'application numérique. Au choix confusion entre l'unité SI m/s et celle que vous voulez km/h, ou alors erreur d'un 0 qui lors du passage à la racine carrée a malencontreusement multiplié ou divisé votre résultat par racine carrée de 10, qui comme chacun sait est presque égal à pi 3,1623 au lieu de 3,1416. Merci bien à Alain_r et Physastro. En effet, je n'ai pas encore vérifié, mais le loup doit être à ce niveau. Je panche pour l'erreur de facteur 10 avant racine carré, putot qu'une erreur de conversion entre les unités rad/s m/s. La couleur du vide est proportionnelle à sa masse... Aujourd'hui A voir en vidéo sur Futura 23/10/2008, 16h49 5 Re Vitesse de déplacement de la lune. L'erreur est que, pour F2, c'est F2 = M2 * V² / R, pas M1. Tu dois prendre la masse de la lune car c'est la vitesse de la lune que tu veux calculer pas celle de la terre. Donc V = sqrtG*M1 / R. Il ne faut pas oublier aussi que cette formule est une approximation valide quand l'orbite est circulaire et la masse en orbite est négligeable par rapport à la masse centrale. Je ne sais pas d'ou te vient ta réponse de 1170km/s mais moi j'obtiens 3666 km/s avec mes chiffres. Si je prends la masse de la lune par erreur j'obtiens 406 km/h qui est environ 1/9 de la bonne réponse, c'est normal car la masse de la lune est environ 1/81 de celle de la terre, et comme V est fonction de la racine carrée de la masse, ceci explique cela. Mais ton 1170 je ne sais pas d'ou il vient. En tout cas, pi n'a rien a faire la-dedans. 23/10/2008, 16h56 6 softage Re Vitesse de déplacement de la lune. Non,non. C'est bien la masse de la terre que j'ai placé en M2. D'ailleurs, la masse M1 disparait dans la réduction de l'équation c'est normal, peu importe l'objet en orbite lune, astéroide ou boite de conserve.... Mais comme l'a dit Alain_r, c'est une simple erreur de puissance facteur 10 dans le calcul et comme pi est très proche de rcarré de 10, il y a eut comfusion. Je te remercie. La couleur du vide est proportionnelle à sa masse... 24/10/2008, 16h21 7 softage Re Vitesse de déplacement de la lune. Bon, méa culpa . C'était bien la racine du facteur 10. Ca m'apprendra à ne pas faire confiance au calcul mental ! Fin de sujet résolu La couleur du vide est proportionnelle à sa masse... Sur le même sujet Discussions similaires Réponses 45 Dernier message 04/08/2008, 18h51 Réponses 3 Dernier message 18/04/2008, 13h49 Réponses 2 Dernier message 13/03/2007, 13h08 Réponses 4 Dernier message 23/02/2006, 19h51 Réponses 1 Dernier message 14/12/2003, 06h50 Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 04h40. L'origine connue de notre Univers se situe il y a 13,7 milliards d'années. A cet instant, une explosion gigantesque le Big Bang se produit. Chronologie univers I – Description de l’univers 1 Le système solaire Le système solaire est un système planétaire composé d'un ensemble d'objets célestes planètes et leurs satellites, comètes, astéroïdes qui gravitent autour d'une étoile, le Soleil. Le Soleil représente à lui seul plus de 99% de la masse totale du système solaire. Depuis le Soleil, on trouve les planètes telluriques à surface rocheuse Mercure, Vénus, la Terre et Mars, une ceinture d’astéroïdes les planètes géantes gazeuses Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune La ceinture de Kuiper Elles dessinent des trajectoires pratiquement circulaires autour du Soleil. Excepté les planètes les plus proches du Soleil Mercure et Vénus, toutes les planètes ont des satellites naturels. La Lune est l'unique satellite naturel de la Terre. 2 Au delà du Système Solaire Le Soleil n’est qu’une étoile parmi des milliards d’autres. Les galaxies Les étoiles s'organisent d'abord en galaxies, des structures qui s'étendent sur environ années-lumière. Il y aurait entre 100 et 200 milliards de galaxies dans l'univers tel que nous le connaissons. Celle dont fait partie le Système solaire a été baptisée la Voie lactée et regroupe quelque 100 milliards d'étoiles. La Voie lactée est une galaxie spirale, mais les galaxies peuvent aussi prendre une forme elliptique ou même irrégulière. Les amas de galaxies Les galaxies se regroupent au sein d'amas. Les galaxies peuvent se lier entre elles par leur force de gravitation et former des amas de galaxies d'une dizaine de millions d'années-lumière. Celui auquel appartient la Voie lactée est appelé le Groupe local ». Parmi la trentaine de galaxies qu'il abrite, on trouve notamment la fameuse galaxie d'Andromède. L'univers compterait environ 25 milliards d'amas de galaxies. Les superamas de galaxies Les amas se regroupent au sein de superamas, des structures gigantesques, de l'ordre de 150 millions d'années-lumière et composées de plusieurs dizaines d'amas chacune. Le Groupe Local appartient au superamas de la Vierge. Dans l'univers visible, il y aurait quelque 10 millions de superamas. Les superamas s'organisent enfin en filaments, comme un réseau tridimensionnel en toile d’araignée. Entre les superamas, il existe donc d'immenses zones de vide l'univers est dit lacunaire », des zones qui atteindraient, pour certaines, les centaines de millions d'années-lumière. Selon les astronomes, ces zones de vide représenteraient quelque 90 % du volume total de l'univers. Conclusion L'univers est constitué de milliards d’étoiles et de nombreux autres objets célestes tels les planètes, les comètes, les astéroïdes, etc. Tous ces corps se structurent en galaxies, amas et superamas. Cependant, à grande échelle, la structure de l'univers est dite lacunaire » car celui-ci est en majorité constitué de vide. II – Les unités de distance en astronomie Quelques distances dans le système solaire et la Voie Lactée distance Terre-Lune = 384 400 km distance moyenne distance Terre-Soleil = 150 000 000 km distance Soleil-Neptune = 4,498 milliards km = 4 498 000 000 km. distance Soleil-Proxima du centaure étoile la plus proche du Soleil = 39 900 000 000 000 km = 3,99 x 1016 m Les distances dans l'Univers étant gigantesques et il a donc été nécessaire de créer des unités de distance adaptées. Unité Astronomique Pour mesurer des distances dans le système solaire, on utilise l'Unité Astronomique. 1 Unité Astronomique ua correspond à la distance séparant la Terre du Soleil soit environ 150 000 000 km. Précisément 1 ua = 149 597 870 700 m = 1,5 x 108 km = 1,5 x 1011m Exemples distance Terre-Soleil = 1 ua distance Soleil-Neptune = 4 498 000 000 000 m / 149 597 870 700 m = 30 ua L'année-lumière Pour mesurer les distances entre les étoiles, galaxies ou amas de galaxies on utilise l'année-lumière. L'année-lumière est la distance parcourue par la lumière en 1 année dans le vide. Sachant que la vitesse de la lumière ou célérité de la lumière dans le vide est de 300 000 km/s = 3 x 108 m/s et qu'une année représente 365,25 jours, alors 1 al = 365,25 jours x 24 h x 3600 s x 3 x 108 m/s = 9,467 x 1015 m = x 1012 km. Exemple Distance Soleil-Proxima du centaure = 3,99 x 1016 m / 9,467 x 1015 m = 4,21 al Cette distance signifie que si on pouvait se déplacer à la vitesse de la lumière, il faudrait 4,21 ans pour atteindre l'étoile la plus proche du Soleil. De même, comme la lumière provenant de cette étoile met 4,21 ans à nous parvenir, lorsqu’on l’observe depuis la Terre, on la voit telle qu’elle était il y a 4,21 années. C’est pour cela que l’on dit "Voir loin, c'est voir dans le passé" L'Univers s'étend sur 13,7 milliards d'années-lumière soit Dimension Univers = 13,7 x 109 x 9,467 x 1015 ≈ 1,3 x 1026 m !!! On remarque que l'homme fait la liaison entre l'infiniment petit et l'infiniment grand. UNIVERSD'après les dictionnaires, l'Univers est l'ensemble de tout ce qui existe. Dans sa perception immédiate, l'Univers se limite au seul environnement qui soit accessible à nos sens. L'astronomie a cependant permis, dès l'Antiquité, de concevoir que la Terre, le système solaire et les étoiles ont des dimensions, ou sont à des distances, considérablement plus grandes que ce que nous pouvons imaginer facilement. […] Lire la suiteSCIENCES Sciences et sociétéÉcrit par Federico MAYOR, Evry SCHATZMAN • 9 687 mots • 4 médias Il n'y a pas, en ce sens, d'expérimentation dans les sciences humaines. Sans doute toutes les sciences de la nature ne sont-elles pas des sciences expérimentales, et l'astronomie en est le meilleur exemple. Mais l'astronomie procède par extrapolation à partir des sciences expérimentales, principalement la mécanique et la physique ; et elle ne serait rien sans les expériences qui ont fondé ces sciences. […] Lire la suiteMUSÉES DES SCIENCES ET TECHNIQUESÉcrit par Bruno JACOMY • 6 416 mots Rappelons d'ailleurs que, dans sa phase d'élaboration, cette dernière était nommée Musée national des sciences, des techniques et des industries. Ces titres reflètent la volonté d'embrasser non seulement les sciences, et notamment les sciences dures », mais aussi les techniques que le xixe siècle considérait comme des sciences appliquées et, plus récemment, les sciences humaines, au rang desquelles on peut, à l'instar d'André-Georges Haudricourt 1911-1996, inscrire la technologie. […] Lire la suiteUNIVERS notions de baseÉcrit par Universalis • 4 771 mots • 17 médias Le système solaire était né. La naissance de l’Univers Les objets proches racontent le passé immédiat, quelques années pour les étoiles voisines, quelques dizaines de milliers d’années pour le cœur de la Voie lactée, etc… La lumière provenant des objets les plus lointains fut émise il y a 13 milliards d’années temps qu’il lui a fallu pour parcourir la distance de l’objet à la Terre. […] Lire la suiteSCIENCES Science et progrèsÉcrit par Jean-Marc LÉVY-LEBLOND • 6 537 mots La relativité date de la première décennie du siècle dernier, la quantique et la cosmologie expansion de l'Univers de la troisième, la physique nucléaire de la quatrième. Quant à l'informatique et aux nouvelles techniques de communication, leurs principes et premières réalisations résultent de la Seconde Guerre mondiale. La révolution des sciences de la Terre, la tectonique des plaques, trouve ses origines au début du xxe siècle. […] Lire la suiteSCIENCES Science et christianismeÉcrit par Jacques ROGER • 4 121 mots Contre Newton, il affirme que le système solaire n'a pas été directement créé par Dieu, mais qu'il doit son existence à un phénomène naturel. Il refuse au déluge biblique tout rôle dans l'histoire de la Terre, dont il augmente la durée au-delà de toutes les estimations antérieures, fondées sur la Bible. Il défend la génération spontanée, commence à penser à une évolution des formes vivantes et laisse entendre que l'homme est d'abord un animal très perfectionné. […] Lire la suiteSCIENCES ET PHILOSOPHIEÉcrit par Alain BOUTOT • 17 713 mots • 6 médias La philosophie, qui se confond avec la dialectique, représente le faîte et le couronnement de l'édifice du savoir, les autres sciences, c'est-à-dire l'arithmétique, la géométrie, l'astronomie ou l'harmonie, n'étant qu'une sorte de propédeutique à la philosophie. D'où l'inscription qui figurait sur le fronton de l'école platonicienne à Athènes, l'Académie Que nul n'entre ici s'il n'est géomètre. […] Lire la suiteSCIENCES HUMAINESÉcrit par Edmond ORTIGUES • 10 268 mots • 2 médias Et pourtant, même si la table des éléments n'est pas le dernier mot de la physique, c'est elle qui, depuis Empédocle jusqu'aux successeurs de Mendeleïev, a donné aux physiciens le sentiment d'avoir les pieds sur terre. Les sciences sociales quant à elles, en se réduisant à n'être de leur propre aveu que des sciences du comportement ou du changement, naviguent comme elles peuvent sur les abîmes de la psychologie. […] Lire la suiteCHINOISE CIVILISATION Sciences et techniquesÉcrit par Jean-Claude MARTZLOFF • 6 568 mots Dans chaque cas, supposant le Ciel et la Terre soit plats, soit incurvés, mais toujours parallèles l'un à l'autre, et admettant aussi que l'ombre du gnomon varie régulièrement, elles aboutissent à un univers de dimensions finies dans lequel le Soleil joue le rôle d'une étoile circumpolaire. Une autre théorie, dite du ciel enveloppant » huntian, dépend de la sphère armillaire huntian yi, et repose sur l'idée d'un univers en forme d'œuf dont la Terre serait le jaune. […] Lire la suiteART & SCIENCESÉcrit par Jean-Pierre MOHEN • 6 165 mots • 3 médias Il est fait appel à la grande variété des sciences de la Terre aussi bien qu'aux sciences des matériaux, dans une optique archéologique qui fait le bilan des approches archéométriques et historiques. La conservation-restauration Cesare Brandi, en 1950, dans un livre intitulé Teoria del restauro, Harold Plenderleith, en 1956, avec ses travaux sur La Conservation des antiquités et des œuvres d'art, Paul Coremans, dans ses cours professés à l'Institut royal du patrimoine artistique de Bruxelles, ont défini, chacun, les principes d'une conservation-restauration » scientifique ils ont établi la règle de la stabilité et de la réversibilité de l'intervention, celle de l'intégrité et de la lisibilité de l'œuvre. […] Lire la suiteSCIENCES SOCIALES PRÉHISTOIRE DESÉcrit par Bernard-Pierre LÉCUYER • 17 521 mots • 1 médiaL'actuel discours manichéen sur les sciences sociales repose, en fait, sur deux postulats rarement explicités qui se caractérisent par une négation absolue de l'historicité. Il suppose d'abord pure vue de l'esprit un développement en quelque sorte frontal » des sciences sociales, susceptible d'être légitimement et globalement opposé à celui d'un autre ensemble fictif, et supposé quant à lui cohérent, qui comprendrait dans leur totalité les sciences de la matière, de la Terre et du monde vivant. […] Lire la suiteARCHITECTURE Thèmes généraux Architecture, sciences et techniquesÉcrit par Antoine PICON • 7 914 mots • 6 médias Un Jean Nouvel semble l'avoir très bien compris lorsqu'il conçoit des ambiances technologiques sans pour autant chercher à combler l'écart qui s'accuse entre un univers scientifique et technique de moins en moins spatial et la discipline architecturale. Cet écart est-il désormais inévitable ? Les réflexions visant à renouer des liens riches de sens entre architecture, sciences et techniques empruntent actuellement trois directions. […] Lire la suiteASTRONOMIEÉcrit par James LEQUEUX • 11 338 mots • 20 médias est sans aucun doute le pythagoricien le plus intéressant pour l'astronomie. Toutefois, il n'introduit pas l'Univers héliocentrique le Soleil comme centre de l’Univers, comme on l'affirme parfois. Pour lui, le Soleil n'est qu'un astre tournant autour du feu central où trône Zeus. Mais la Terre devient aussi mobile, décrivant en vingt-quatre heures un cercle autour de ce feu, en présentant toujours vers l'extérieur la même face, où se trouve la Méditerranée. […] Lire la suiteTERRE La planète TerreÉcrit par Jean AUBOUIN, Jean KOVALEVSKY, Evry SCHATZMAN • 12 045 mots • 11 médias Le calendrier de l'histoire de la Terre Dans un Univers de 15 milliards d'années, l'âge de la Terre, comme celui de la Lune, estimé sur les échantillons du programme Apollo, est de l'ordre de 4,5 milliards d'années. Il s'agit d'ailleurs également de celui du Soleil et du système solaire. Cet âge a été donné par des zircons, minéraux repris dans des roches plus récentes. […] Lire la suiteINDE Arts et culture Les sciencesÉcrit par Francis ZIMMERMANN • 14 198 mots • 2 médias Livre II la Terre, qui fait l'objet d'une taxinomie en dix sections, la terre en général définition géographique de l'Inde comme centre du monde aryen, la ville autrement dit, l'espace habité, la montagne l'espace sauvage, et, dans la montagne, les plantes de la forêt d'une part, les animaux sauvages d'autre part ; aux cinq premières sections qui concernent les sciences naturelles font pendant cinq sections sur ce que nous appellerions les sciences de l'homme, et d'abord l'homme en général termes de parenté, noms de maladies, etc. […] Lire la suiteHISTOIRE DES SCIENCES, DE L'ANTIQUITÉ À NOS JOURS dir. P. de la CotardièreÉcrit par Hubert CURIEN • 1 035 mots Rédigé dans un esprit tout autant prospectif que rétrospectif par sept auteurs spécialistes de leur domaine, Histoire des sciences, de l'Antiquité à nos jours Tallandier, Paris, 2004 vient à son heure, alors que l'enseignement de cette discipline est aujourd'hui, et particulièrement en France, notoirement insuffisant à tous les niveaux. L'ouvrage est divisé en six chapitres traitant des mathématiques, de la physique, de l'astronomie, de la chimie, des sciences de la Terre et des sciences de la vie. […] Lire la suiteISLAM La civilisation islamique Les mathématiques et les autres sciencesÉcrit par Georges C. ANAWATI, Roshdi RASHED, Universalis • 22 273 mots • 1 média Et vous avez en ma personne le meilleur barbier de Bagdad, un médecin expérimenté, un chimiste très profond, un astrologue qui ne se trompe point, un grammairien achevé, un parfait rhétoricien, un logicien subtil, un mathématicien accompli dans la géométrie, dans l'arithmétique, dans l'astronomie et dans tous les raffinements de l'algèbre ; un historien qui sait l'histoire de tous les royaumes de l'Univers. […] Lire la suiteTERRE ÂGE DE LAÉcrit par Pascal RICHET • 5 143 mots • 5 médiasQue la Terre et même l’Univers aient un âge est de nos jours une évidence. Le fait que ces âges se comptent par milliards d’années est lui-même couramment connu 4,55 pour la Terre et sans doute environ trois fois plus pour l’Univers, comme l’ont respectivement établi les géochimistes au milieu du xxe siècle et les cosmologistes dans les décennies suivantes. […] Lire la suiteTERRE Vue d'ensembleÉcrit par Yves GAUTIER • 1 342 mots • 1 média La Terre est une planète du système solaire. En cela, elle tourne autour d'une étoile que nous appelons Soleil. Ce dernier fait partie d'un ensemble d'autres étoiles, avec d'autres planètes, qui forment une galaxie cette fameuse Voie lactée, que nous aimons contempler à la faveur des belles nuits d'été. N'allons pas plus loin pour dire que notre Galaxie fait partie d'une super-galaxie, parmi d'autres, pour former un Univers, plein de vides, qui n'existent pas, de matière manquante, de trous noirs, qui absorbent tout, et de divers rayonnements et autres curiosités qui dépassent bien souvent notre entendement malgré les théories des physiciens. […] Lire la suiteEXPLORATION DU SYSTÈME SOLAIRE notions de baseÉcrit par Universalis • 3 530 mots • 19 médiasLe système solaire est de mieux en mieux connu, au fur et à mesure des progrès des sciences et des techniques. Les télescopes et les sondes spatiales permettent l’exploration de tous les astres qui gravitent autour du Soleil planètes telluriques, planètes géantes ou petits corps comme les astéroïdes et les comètes. La conquête spatiale a bouleversé nos connaissances en même temps qu’elle pose de nouvelles questions. […] Lire la suiteSCIENCE-FICTIONÉcrit par Roger BOZZETTO, Jacques GOIMARD • 7 936 mots • 4 médias La science-fiction francophone Depuis au moins Jules Verne et Cinq Semaines en ballon 1863, la littérature française d’imagination ou de merveilleux scientifique a donné forme et modèles à l’imagination associée aux merveilles techniques. Elle a fourni des textes de qualité, entre autres ceux de Rosny aîné, Jacques Spitz ou Maurice Renard, lequel inventait aussi la critique de ce qui apparaissait comme un nouveau genre littéraire, publié à la fois par des revues telles que Sciences et Voyages 1919-1935 et dans des romans épars. […] Lire la suiteOBSERVATION ASTRONOMIQUEÉcrit par Marc LACHIÈZE-REY • 1 843 mots • 5 médias Ils confirment ainsi que tous les astres sont composés des mêmes éléments que la Terre, et obéissent aux mêmes lois physiques. En même temps par l'effet Doppler-Fizeau, la spectroscopie donne accès à la vitesse du moins à sa composante en direction de l'observateur d'un astre, étoile ou nébuleuse. C'est ce qui permettra par exemple de découvrir l'expansion de l'Univers. […] Lire la suiteBUREAU DES LONGITUDESÉcrit par Bruno MORANDO • 949 mots Organisme regroupant des astronomes, des géophysiciens, des navigateurs, des spécialistes des sciences de la Terre climatologie, météorologie, etc., le Bureau des longitudes est, dans les années 1990, un des cinq bureaux dans le monde qui publient des éphémérides de haute précision. L'une des tâches principales du Bureau des longitudes est de publier annuellement des éphémérides astronomiques et d'effectuer des recherches dans le domaine de l'astronomie fondamentale, et, plus particulièrement, dans celui de la mécanique céleste du système solaire. […] Lire la suiteBRAHIC ANDRÉ 1942-2016Écrit par Isabelle GRENIER • 884 mots • 1 média Captivé par l’Univers dans son enfance, il renoue avec l’astronomie à l’université avec Evry Schatzman, avec qui il étudie les instabilités des étoiles massives. Nommé assistant à la Faculté des sciences de Paris en 1968, il se tourne vers l’étude de systèmes dynamiques et chaotiques avec Michel Hénon, dont il deviendra l’ami. Sa thèse 1971 porte sur l’accélération d’une particule entre des murs oscillants accélération de Fermi et son doctorat d’État 1976 sur l’évolution de systèmes dont les particules interagissent par gravitation et collisions. […] Lire la suiteGÉOLOGIE Vue d'ensembleÉcrit par Universalis • 877 mots La Terre est en effet un immense champ d'étude que les géologues doivent partager aujourd'hui avec les spécialistes d'autres disciplines. C'est ainsi que la géologie se limite plutôt à l'étude de la constitution et de l'histoire de la croûte terrestre et laisse à la géophysique l'investigation des couches plus profondes du globe ; l'aéronomie et la météorologie s'intéressent à l'atmosphère ; l'océanographie et l'hydrologie étudient les divers aspects de l'hydrosphère ; la Terre considérée enfin dans l'Univers relève de la planétologie et de l'astronomie. […] Lire la suiteKOYRÉ ALEXANDRE 1892-1964Écrit par Gérard JORLAND • 1 253 mots Deux ans plus tard, son nom a été donné au Centre de recherches d'histoire des sciences et des techniques qu'il avait créé en 1958 à la sixième section de l' devenue École des hautes études en sciences sociales en 1975. […] Lire la suiteLÉNA PIERRE 1937- Écrit par Yves QUÉRÉ • 1 098 mots • 1 média Le fil conducteur de ses travaux de recherche se situe dans l'astronomie infrarouge, champ qu'il est un des tout premiers à défricher et dont il va accompagner l'essor, appliquant chaque progrès de l'instrumentation et des techniques à différents problèmes d'astrophysique successivement, la structure de l'atmosphère solaire, les régions galactiques moléculaires denses de formation d'étoiles et les objets protostellaires. […] Lire la suitePECKER JEAN-CLAUDE 1923-2020Écrit par Roger-Maurice BONNET, Pierre LÉNA • 1 380 mots • 1 média Il veille à la place de l’astronomie au palais de la Découverte comme à la Cité des sciences et de l’industrie de La Villette, dont il préside le comité d’orientation de 1983 à 1986. Il milite également pour la sauvegarde de l’observatoire Camille-Flammarion de Juvisy-sur-Orge Essonne. Humaniste engagé, il est, avec son ami le mathématicien Jean-Pierre Kahane, membre actif de l’Union rationaliste, qui le distinguera par un prix en 1983 et avec laquelle il mène un combat inlassable contre l’astrologie. […] Lire la suiteHIPPARCOS, missionÉcrit par Catherine TURON • 1 376 mots • 1 média La précision de ces mesures de distances et de mouvements des étoiles du voisinage solaire a permis des avancées remarquables sur nombre de sujets la physique stellaire et galactique détermination des luminosités et des âges de très nombreuses étoiles, entraînant une meilleure compréhension de la physique de l’intérieur des étoiles et permettant de rendre enfin compatible l’âge des étoiles les plus anciennes du voisinage solaire avec l’âge estimé de l’Univers à partir de théories cosmologiques ; l’échelle des distances ou les systèmes de référence ; les étoiles doubles ou variables ; la structure et la cinématique des amas d’étoiles en particulier l’étude à trois dimensions de l’amas d’étoiles le plus proche du Soleil, les Hyades ; l’étude de la rotation galactique et des mouvements des différentes populations d’étoiles de la Galaxie ; les masses et les orbites des astéroïdes ; etc. […] Lire la suiteOBSERVATOIRE DE PARISÉcrit par James LEQUEUX • 1 400 mots • 3 médias Une activité couvrant tout l’Univers On se lance alors dans de nouveaux domaines d’abord l’étude du ciel en ondes radio, la radioastronomie, avec la fondation de la station de Nançay en 1953, munie d’instruments pour l’étude du Soleil puis d’un grand radiotélescope. Puis c’est l’astronomie à partir de l’espace, qui utilise d’abord des fusées et des ballons stratosphériques, puis des satellites et des sondes spatiales. […] Lire la suiteHERSCHEL sir WILLIAM 1738-1822Écrit par Dominique PROUST • 2 114 mots • 1 média L'impact de cette découverte est considérable, car après des siècles d'une astronomie planétaire figée à huit composantes – six planètes auxquelles s'ajoutent le Soleil et la Lune – et sur laquelle reposait toute la conception du cosmos, le système solaire s'accroît subitement, grâce à cette nouvelle planète située à 18 fois la distance de la Terre au Soleil. […] Lire la suiteDEMAIN, LA PHYSIQUE dir. É. BrézinÉcrit par Bernard PIRE • 1 034 mots La première partie, L'Univers et ses lois », ne surprendra pas les lecteurs. L'astronomie et la physique des particules élémentaires ont fait des progrès considérables dans les dernières décennies et leurs découvertes font régulièrement la une de l'actualité. On imagine aisément que les chercheurs de ces disciplines rêvent d'accélérateurs et d'observatoires sur Terre ou dans l'espace toujours plus puissants, et que les contraintes économiques sont le seul frein à leur imagination. […] Lire la suiteDOLLFUS AUDOUIN 1924-2010Écrit par Jean Claude FALQUE • 1 221 mots • 1 média Parmi ses ouvrages de vulgarisation, mentionnons Pilâtre de Rozier premier navigateur aérien, première victime de l'air Association française pour l'avancement des sciences, Paris, 1993, 50 ans d'astronomie comprendre l'univers Sciences, Les Ulis, 1998, La Grande Lunette de Meudon les yeux de la découverte éd. du Paris, 2006 et Les Autres Mondes visions d'astronome Belin-Pour la science, Paris, 2008. […] Lire la suiteHÉLIOCENTRISMEÉcrit par Jean-Pierre VERDET • 3 229 mots • 7 médias Peu de changement donc ; simplement, dans la grande machinerie de l'univers, en apparence toujours aussi complexe, Copernic se contente de permuter la place, mais aussi la fonction de la Terre et du Soleil. Au point que, parmi les œuvres qui marquent d'une pierre blanche les chemins de l'astronomie, le De revolutionibus est celle dont la place et le mérite restent parmi les plus contestés, et Copernic apparaît deux fois fauteur de discordes en son temps parmi les astronomes, les philosophes et les théologiens ; aujourd'hui, parmi les historiens des sciences. […] Lire la suitePRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2019Écrit par Pierre LÉNA, Alain RIAZUELO • 2 387 mots • 2 médias Le prix Nobel de physique 2019 est décerné pour des contributions à notre compréhension de l’évolution de l’Univers et de la place de la Terre dans le cosmos ». Il est attribué pour moitié à James Peebles université de Princeton, États-Unis, pour ses travaux théoriques de cosmologie et, pour l’autre moitié, conjointement à Michel Mayor université de Genève et Didier Queloz université de Genève ; université de Cambridge, Royaume-Uni pour la découverte de la première exoplanète. […] Lire la suiteSAGAN CARL 1934-1996Écrit par Jean Claude FALQUE • 892 mots • 2 médias En 1968, il gagne l'université Cornell, à Ithaca État de New York, où, en 1971, il est nommé professeur d'astronomie et de sciences spatiales et directeur du Laboratory for Planetary Studies, postes qu'il conservera jusqu'à sa mort. Son enthousiasme va y faire naître de nombreuses vocations la plupart des grands noms de la recherche planétologique du dernier quart du xxe siècle furent ses étudiants ou ses proches collaborateurs. […] Lire la suiteINDE Arts et culture Les mathématiquesÉcrit par Agathe KELLER • 5 429 mots • 3 médias Bhāskara explique ainsi que l’astronomie mathématique graha-gaṇita, littéralement le calcul des planètes » est une forme spécialisée de géométrie. Il affirme également que géométrie et arithmétique ne sont que deux manières différentes d’exprimer une même réalité, elle-même insaisissable autrement que par des outils savants. Nous n’approchons la vérité de la réalité que par des médiations techniques et savantes… Mais les mathématiques sont aussi vues comme une somme de sujets spécialisés dont les sciences astrales ne considèrent qu’une petite partie. […] Lire la suiteHOYLE FRED 1915-2001Écrit par Marek A. ABRAMOWICZ • 2 846 mots • 1 média Hubble, indique que l'Univers est en expansion constante, et qu'il a eu un commencement. Pour Bondi, Gold et Hoyle, cette idée de commencement est, d'un point de vue philosophique, inacceptable. À l'époque, le modèle standard achoppait à une difficulté sérieuse d'après les estimations de Hubble, l'âge de l'Univers devait être d'environ deux milliards d'années ; or, les données géologiques conduisaient à un âge de la Terre d'au moins quatre milliards d'années. […] Lire la suiteLEM STANISLAS 1921-2006Écrit par Jerzy JARZEBSKI • 1 165 mots Dès ses débuts, Lem déploie deux types d'écriture le roman de science-fiction et l'essai de philosophie des sciences. Dans ce second volet de son œuvre, Les Dialogues 1957 et Summa technologiae 1964 offrent des réflexions sur l'avenir des sciences et des techniques. La Philosophie du hasard 1968 s'articule autour du rôle du hasard dans les domaines de la physique, de la cosmologie, de la génétique et des théories de la culture. […] Lire la suiteASTROPARTICULESÉcrit par Pierre BAREYRE • 2 125 mots • 1 média De leur côté, l'astrophysique et la cosmologie observationnelle vont bénéficier de nouveaux instruments embarqués à bord de fusées et de satellites ainsi que des avancées dans les techniques des détecteurs au terme astroparticules » désigne ainsi les messagers de l'Univers, proche ou lointain, à la fois source et laboratoire de physique des particules et de cosmologie, impliquant la physique microscopique et celle de l'Univers primordial neutrinos, dont l'énigme de la masse semble près d'être résolue, rayons gamma et neutrinos de haute énergie, rayons cosmiques de très haute énergie qui entrent, malgré leur rareté, dans une phase de détection intensive, ondes gravitationnelles. […] Lire la suiteGÉOLOGIE Géologie contemporaineÉcrit par Édouard KAMINSKI • 5 653 mots • 5 médias Exploratoire, la géologie l'est à présent intellectuellement par ses échanges avec les sciences de la vie et les sciences physiques et chimiques, dont les concepts et les résultats sont utilisés pour mieux décrire et caractériser les processus à l'œuvre sur Terre. Les diverses branches de la géologie moderne, que l'on dénomme aujourd'hui géosciences » se regroupent autour de techniques, comme la géophysique, la géochimie, la géologie de terrain, la tectonique, la pétrologie expérimentale, l'observation de la Terre depuis l'espace, ou encore la dynamique des fluides géologiques, pour quelques-unes des plus importantes, et autour de thèmes transverses faisant appel aux techniques précédentes, telles que les géosciences marines, le géomagnétisme, le volcanisme, la géodynamique, ou la planétologie comparée. […] Lire la suiteONDES GRAVITATIONNELLESÉcrit par Bernard PIRE • 6 832 mots • 6 médias L’Académie des sciences chinoise a d’autre part lancé un programme spatial appelé TAIJI aux objectifs proches de ceux d’e-LISA. La découverte des ondes gravitationnelles Le 11 février 2016, David Reitze, le directeur du consortium LIGO, annonçait lors d’une conférence de presse Nous avons détecté des ondes gravitationnelles. » Selon l’analyse du signal et les modélisations d’événements cosmiques catastrophiques réalisées par les théoriciens, l’onde proviendrait de la coalescence de deux trous noirs situés à environ 400 mégaparsecs soit 1,3 milliard d’années-lumière de la Terre ; la rencontre de ces deux corps, de masses approximatives comprises entre 29 et 36 fois la masse solaire, aurait résulté en la formation d’un trou noir de 62 masses solaires et au dégagement brutal d’une immense quantité d’énergie emportée par l’onde gravitationnelle. […] Lire la suiteEXOBIOLOGIEÉcrit par François RAULIN • 6 957 mots • 16 médias Ces projets sont le fruit de collaborations nouvelles et fructueuses entre deux communautés scientifiques – celle des sciences de l'Univers et celle des sciences de la vie – qui n'avaient pas jusqu'alors l'habitude de travailler ensemble. La pluridisciplinarité est certainement en train de devenir une des caractéristiques des sciences du xxie siècle. […] Lire la suiteMICROCOSME ET MACROCOSMEÉcrit par Hélène VÉDRINE • 4 283 mots • 1 média Elle parcourt les degrés de l'univers, utilise la matière pour créer, réinvente le beau dans ses œuvres d'art, imagine des techniques et des sciences nouvelles. Perpétuellement agitée, parfois inquiète, l'âme ne se contente plus d'une contemplation passive de la splendeur de l'univers, elle cherche à se dépasser et à atteindre l'immortalité Puissance vraiment merveilleuse qui rend l'infini un et un l'infini. […] Lire la suiteCOPERNIC NICOLAS 1473-1543Écrit par Jean-Pierre VERDET, Universalis • 5 395 mots • 5 médias Autant, et peut-être même plus, que dans l'astronomie pratique de Ptolémée. Peu de changements donc. Simplement, dans la grande machinerie de l'Univers, en apparence toujours aussi complexe, Copernic se contente de permuter le lieu, et la fonction, de deux pièces, la Terre et le Soleil. On serait tenté de dire la révolution copernicienne, c'est, bien entendu, l'héliocentrisme, mais ce n'est que l'héliocentrisme. […] Lire la suiteSWEDENBORG EMANUEL 1688-1772Écrit par Régis BOYER • 3 317 mots C'est par les sciences qu'il se fait connaître en fondant, en 1716, la première revue scientifique suédoise qui ait existé, le Dædalus hyperboreus 1716-1718. Il obtient de Charles XII un poste d'assesseur extraordinaire au Collège royal des mines. Il illustre son esprit d'invention en 1718 en imaginant un moyen de faire passer plus de soixante kilomètres de terre ferme à deux galères, une corvette et cinq chaloupes, lors du siège de Fredrikshald. […] Lire la suiteLAPLACE PIERRE SIMON DE 1749-1827Écrit par Pierre COSTABEL • 3 285 mots • 1 média Déjà connu par d'importants travaux, il succéda, en 1784, à Étienne Bezout comme examinateur du corps de l'artillerie et entra, en 1785, à l'Académie royale des sciences. À la Révolution, il prit part à l'organisation de l'École polytechnique et de l'École normale et fit partie de l'Institut lors de sa création. En 1796, il présidait la commission chargée de présenter au Conseil des Cinq-Cents le rapport sur le progrès des sciences. […] Lire la suiteMÉCANISME, philosophieÉcrit par Joseph BEAUDE • 5 210 mots • 1 média La doctrine mécaniste De la notion de Cosmos à celle d'Univers Le mécanisme n'est pas né seulement de la volonté de mieux expliquer les phénomènes que l'homme découvre dans son expérience quotidienne sur la Terre ; il est lié assez étroitement aux découvertes qui ont été faites dans le ciel, aux bouleversements qu'a connus l'astronomie. L'un de ses postulats est que la physique céleste est la même que la physique terrestre. […] Lire la suiteKIRCHER ATHANASIUS 1602-1680Écrit par Sylvain MATTON • 3 538 mots Riccioli, l'auteur d'un des ouvrages d'astronomie les plus populaires du xviie siècle, qui donna le nom de son confrère jésuite à un cratère de la Lune. Mais Kircher n'adopta pas le système de Copernic bien que, selon Peiresc, il le tînt pour scientifiquement indépassable, lui préférant officiellement celui de Tycho Brahe, et son Itinerarium exstaticum 1656 où il expose ses conceptions astronomiques sous la forme littéraire d'un voyage dans le système solaire celui de Théodidacte conduit par l'ange Cosmiel reçut un accueil mitigé. […] Lire la suiteESPACE CONQUÊTE DE L' Succès et désillusionsÉcrit par Jacques VILLAIN • 9 923 mots • 32 médias La sonde américaine Genesis, lancée en 2001, a collecté des particules de vent solaire autour du point de Lagrange L1 et est rentrée sur Terre en septembre 2004. L'analyse de ces particules devrait permettre de mieux comprendre la genèse du système solaire et notamment la composition de la nébuleuse primitive dont est issu notre système solaire. Le reste de l'Univers a bien évidemment aussi fait l'objet de toutes les attentions. […] Lire la suite La Terre tourne autour du Soleil et la lune autour de la Terre en décrivant des ellipses. Ces mouvements ainsi que la forme des trajectoires modifient constamment la distance entre ces trois astres. La distance n'est donc pas une constante. Mais, il est tout de même possible de déterminer la plus grande et la plus petite distance Soleil / lune possible. Mouvements de la terre et de la lune La Terre tourne autour du Soleil, en décrivant une ellipse courbe ovale qui est proche d'un cercle. Cette rotation dure 365,26 jours. C'est pour cela qu'une année bissextile est instaurée tous les quatre ans pour rattraper la fraction de jour au delà des 365. La lune tourne autour de la Terre en décrivant également une ellipse proche du cercle. Sa période de révolution, c'est-à-dire la durée pour effectuer un tour complet de la Terre, est de 27 jours et 7 heures. Variations de la distance entre la lune et le soleil Distance Terre / lune et Terre / Soleil Le périhélie désigne la position de la Terre lorsque celle est au plus près du Soleil. L'aphélie est le contraire. Pour la lune, on parlera de périgée, lorsqu'elle est proche de la Terre et d'apogée dans le cas opposé. La distance entre la Terre et le Soleil, ainsi que celle entre la lune et la Terre ne sont pas constantes en raison de leur trajectoire elliptique. Si leur déplacement était parfaitement circulaire, les distances Terre / Soleil et Terre / Lune seraient constantes. La distance de la Terre à la lune varie de 363 104 km périgée à 405 696 km apogée et la distance du Soleil à la Terre de 147 098 074 km périhélie à 152 097 701 km aphélie La distance entre le Soleil et la lune n'est donc pas une constante. Distance lune / Soleil Notre satellite naturel la lune est au plus proche de notre étoile le Soleil quand la lune est située entre le Soleil et la Terre et que les trois sont alignés on observera alors une éclipse de Soleil . De plus, la Terre doit être à son périhélie et la lune à son apogée. Cette position donne une distance lune / Soleil de 147 098 074 km - 405 696 km = 146 692 378 km. La distance la plus grande entre le Soleil et la lune s'observe quand la Terre est située entre le Soleil et la lune et que les trois sont alignés position requise lors d'une éclipse de lune . La Terre doit être à son aphélie et la lune à son apogée. Dans cette configuration, la distance lune / Soleil est donc de 152 097 701 km + 405 696 km = 152 503 397 km. Le calcul de ces deux distances montre donc que la distance lune / Soleil peut varier au maximum de près de 6 millions de km.

distance terre lune en puissance de 10